Quelle soirée ! Quelle fête ! Quel anniversaire ! Quelles belles rencontres !
Jeudi 5 avril 2018 restera une grande date dans la vie de la société Gaport. Pas seulement parce qu’elle a célébré les trente ans d’une très belle existence mais surtout parce qu’elle a proposé une soirée de convivialité et d’amitié incroyable à tous ses clients devenus des amis. « Nous n’avions rien à vendre sauf l’image Gaport, notre enthousiasme et notre sincérité» dit joliment Nathalie Angugliaro, la patronne de la gestion, la soeur de Pascal, le prophète du commercial. Un duo de compétences et de gentillesse. Mais surtout et avant tout les enfants d’un fondateur – visionnaire, Joseph, l’homme par qui tout a commencé. Sans oublier Antoinette, la maman, les yeux brillants tout au long de la soirée, les bras chargés d’un gros bouquet de fleurs.
Une famille heureuse et tellement fière de partager la passion d’une grande aventure, d’une réussite incontestable.
Un hall d’exposition et des bureaux transformés en salle de réception vintage, une ambiance festive, un accueil chaleureux… rien ne manquait, aucune faute de goût pour tous ces amoureux de la mer et des bateaux. 300 personnes qui n’auraient manqué pour rien au monde cette invitation au rêve et au partage. Du blanc, du rosé, du rouge, les couleurs fétiches du Domaine des Trois Chênes, des tapas et des petits fours comme s’il en pleuvait. Des photos par centaines pour immortaliser le moment. Des chapeaux souvenirs sur chaque tête comme signe de reconnaissance éternelle, des cadeaux griffés au nom de la maison, non vraiment il ne manquait rien !
Sous les feux des projecteurs
Et devant le hall, sous les feux des projecteurs, les fleurons des marques de Gaport.
Le dernier né, le Next 240 SH de l’Italien Ranieri. Le Cap Ferret 752 du Bordelais B2Marine. Et l’édition (très) spéciale 30 ans de la marque BSC dessinée et ciselée comme pour un défilé de haute couture.
Trois bijoux propulsés avec élégance par le motoriste Suzuki. Madame Cristina Abbate, importatrice France avait fait le déplacement de Monaco pour représenter la famille italienne. Monsieur Christophe Durand avait quitté momentanément sa Gironde et son patron Bernard Badets pour défendre les couleurs du Cap Ferret.
Monsieur Pierre Pale de chez Suzuki dévoilait les dernières nouveautés du géant japonais.
Tout était réuni et remarquablement orchestré pour que cette rencontre et ce moment entrent dans la légende de ce beau coin du Gapeau. Personne ne s’y est
trompé et chacun est reparti des rêves plein les yeux et des souvenirs gravés au fond des cœurs pour longtemps.
« C’est toujours un moment délicat de mettre en place une organisation de ce type, reconnait Nathalie. Mais le plaisir est à la hauteur de notre attente. Nous sommes restés fidèles à notre ligne de conduite, à notre ADN : être attentif aux désirs de nos adhérents et leur rendre la vie la plus belle possible. Le style Gaport, c’est de l’humain au service d’un grand professionnalisme. Avec une bonne dose de bonne humeur et de disponibilité. » Pascal confirme. « Le stress de la préparation de ce genre d’événement est total. Mais la récompense est à la hauteur de la qualité des échanges et des sourires que nous avons croisés. Sincèrement, c’était un grand moment et nous avons écrit et empilé des souvenirs pour une vie.»
Développement qualité
Gaport en a fait du chemin depuis 1988. 25 bateaux et un bilan en lambeaux au moment du rachat. 400 bateaux et de superbes résultats trente ans plus tard.
Pascal et Nathalie regardent devant mais ne s’emballent pas. « On va moderniser nos locaux, inventer un look plus moderne, développer le show-room. La « Guinguette » commence à trouver son rythme de croisière et son public. Pourquoi ne pas imaginer un club Gaport ? Il ne faut pas trop grossir pour ne pas pénaliser le service aux clients. Notre capacité d’écoute et de réaction, notre proximité doivent être sans faille. Chaque cas mérite toute notre attention. C’est aussi ce que nous devons à notre père qui nous a tracé les grandes lignes de l’aventure et qui reste le meilleur observateur, le garant d’une certaine philosophie et des vraies valeurs… et le premier des critiques si la qualité n’est pas au rendez-vous ! »
Le port à sec a donc trouvé son style, son art de vivre.. Et est devenu un complément incontournable aux anneaux traditionnels. « L’idée vient des Etats-Unis, dans les années 60. la France l’a adoptée et façonnée. Elle est de bon sens. Écologiquement, il y a même des qualités évidentes et reconnues à travailler de cette manière. Moins de peinture antifooling, moins de corrosion, meilleur respect des fonds marins…» argumente Pascal.
Et si Nathalie ne retenait qu’un souvenir de cette Aventure avec un grand A ? « Celui que l’on vivra demain ! » répond l’optimiste derrière un sourire désarmant.
« La soirée a été je l’espère à l’image de notre activité, nous avons partagé du bonheur et c’est bien là l’essentiel. »
Jeudi soir, personne ne s’en plaignait. Et ils étaient même nombreux à échanger des souvenirs, des anecdotes et leurs numéros de portable pour se retrouver bientôt, en face, de l’autre côté du pont. Pour prolonger une soirée dans d’autres endroits de rêve…
Y.M.